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[sondage]on prends forza3 pour jeu vidéo préféré du forum?

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on prends forza 3 comme jeu vidéo préféré du forum?

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kikar4u

kikar4u
Admin
Admin

petit sondage pour savoir si nous prenons comme jeu vidéo préféré forza 3 ou un autre Exclamation


voici un test de forza 3

Lancée en 2005 sur Xbox, la franchise Forza Motorsport affichait d'entrée de jeu son ambition : détrôner Gran Turismo, la simulation automobile phare du constructeur concurrent, Sony.
Performante dès ses premiers pas au point de modifier le paysage des jeux de caisse sur consoles, la saga de Turn 10 s'incarne en cette fin d'année sur Xbox 360 avec un troisième volet tout bêtement baptisé Forza Motorsport 3, le deuxième en HD. Et quatre ans après ses débuts, ses objectifs restent les mêmes, avec Gran Turismo 5 en ligne de mire, comme pour Forza Motorsport 2 en son temps. Il faut dire que Microsoft aura presque réussi à caler trois Forza entre deux épisodes complets de Gran Turismo, sans pour autant les bâcler ou trop se reposer sur ses lauriers comme en témoigne ce dernier volet toujours aussi remarquable. Explications.





You need more space


Avant d'entrer dans le vif du sujet, impossible de ne pas aborder la première surprise offerte par Forza Motorsport 3 avant même son lancement : le jeu repose sur deux DVD. Considéré comme le DVD principal, le premier d'entre eux contient la majorité du titre, tandis que le second ne renferme qu'une centaine de voitures supplémentaires et quelques environnements (et pas des moindres : Fujimi Kaido, Nürburgring et Rally di Positano), du coup inaccessibles si on ne l'installe pas. Car ce second DVD se comporte comme un DLC : il suffira de l'installer sur le disque dur de sa Xbox 360 (environ 2 Go) pour en profiter. On n'aura donc pas à changer de DVD entre deux courses, rassurons-nous. Comme d'habitude, il sera également possible d'installer le disque primaire du jeu (un peu moins de 9 Go en tout), ceci ne réduisant toutefois pas de façon drastique les temps de chargement un peu longs entre chaque épreuve.


Ce petit faux-départ oublié, il sera temps de passer aux aveux en donnant son niveau présumé dans les jeux de sport automobile : débutant, occasionnel ou chevronné. Voilà qui servira à dégrossir le paramétrage de la difficulté du pilotage du titre, qui compte pas moins de cinq niveaux (facile, intermédiaire, difficile, avancé et expert) jouant sur les différentes assistances comme le freinage automatique, l'antiblocage des roues au freinage ou le contrôle de stabilité et de traction. Là encore, pas de panique, tous ces éléments pourront être modifiés à n'importe quel moment un peu plus tard, et on prendra donc sereinement le volant de notre première voiture (imposée) : une Audi R8 rouge pétante, pour quelques tours de piste en guise d'apéritif. L'expérience terminée, il sera temps de choisir réellement sa première acquisition parmi une liste de quelques modèles assez modestes. Problème : on ne disposera pas à ce stade de leurs performances, si bien qu'il faudra choisir au feeling. Heureusement, cette première voiture est gratuite et l'on retrouvera bientôt tous les éléments nécessaires pour choisir ses véhicules en âme et conscience. Ces débuts témoignent en tout cas de la recherche d'accessibilité de Forza 3 qui, outre sa désormais traditionnelle trajectoire au sol indiquant à quelle vitesse aborder un virage, propose également un rembobinage en jeu, permettant de revenir quelques secondes en arrière après un accrochage ou un freinage raté par exemple. Un héritage casual bienvenu en de nombreuses situations, et de toute façon facultatif pour les intégristes de la simu. L'accessibilité du titre repose encore sur un mode de pilotage facile ultra simplifié puisqu'il suffira - comme dans Need For Speed : Shift - de tourner le volant et de laisser l'accélérateur enfoncé pour faire sa course, l'ordinateur contrôlant tout le reste, y compris les freinages. Que l'on se rassure toutefois, le pilotage offre ensuite assez de niveaux pour aller crescendo vers la simulation, la vraie, qui prédomine encore largement dans ce Forza 3. Ouf.

"Poweeerrrr !" (Jeremy Clarkson)


En toute logique, on retrouve dans ce troisième épisode une carrière solo autour de laquelle tout le titre s'articule. De façon très classique, il s'agira encore et toujours d'enchaîner les courses aux quatre coins du monde pour gagner des crédits, nécessaires à l'achat de nouvelles voitures et leur préparation. Le leveling est aussi de nouveau de la partie, et comme dans Forza Motorsport 2, un premier niveau, général, nous permettra principalement de gagner de nouveaux bolides au gré de l'expérience acquise en course, si bien que l'on en achètera finalement très peu, voire pas du tout, tout au long de notre carrière. Un deuxième niveau, indépendant de chacune de nos voitures et bloqué à 5 cette fois-ci, donnera, lui, accès à de nombreuses ristournes auprès des préparateurs afin d'améliorer nos montures à moindre frais. Rien de bien neuf pour les amateurs du précédent épisode, qui découvriront en revanche une présentation de cette carrière sous forme de calendrier. Il faudra y choisir chaque semaine ou presque un mini-championnat, que l'on conjuguera avec un championnat à l'année, qui nous fera grimper petit à petit dans les sphères de la compétition. Un déroulement plutôt bien vu, même si on regrettera que les suggestions de mini-championnats ne favorisent pas davantage ceux jamais courus. Car il y en a une belle tripotée - y compris des courses de drag -, et pour s'en convaincre, il existe un tableau regroupant toutes les épreuves disponibles. Toutefois, en choisissant un tournoi de cette manière, il ne fera pas avancer notre calendrier, or c'est précisément l'effet souhaité puisque le championnat annuel est bien plus important et rémunérateur que tous les autres... Cette carrière s'avère en revanche bien progressive, et nous fait concourir de la classe F à R1 (le système d'Index de Performance étant conservé), balayant ainsi tout le spectre des bolides disponibles dans le jeu. Entre le système de niveaux et les championnats, les récompenses sont par ailleurs nombreuses et régulières, si bien que l'on avancera avec plaisir, les crédits coulant rapidement à flots et les voitures de prestige se débloquant à la pelle. Turn 10 nous gâte, surtout avec un roster de caisses pareil, qui nous place très rapidement au volant de modèles d'exception et de course (plus de 400 en tout), notamment issus de l'endurance et de l'ALMS. Prendre en main la Ferrari FXX ou les prototypes Porsche RS Spyder et Peugeot 908, c'est toujours quelque chose...


Côté circuits, la liste est toute aussi éloquente avec Laguna Seca, Sebring, Road Atlanta, Tsukuba, Silverstone, le Nürburgring ou encore Suzuka, tandis qu'au menu des nouveautés, on retiendra : Le Mans (en version 24h, mais aussi Bugatti), Road America et Sedona Raceway, mais aussi quelques tracés plus exotiques tels qu'Amalfi Coast, Fujima Kaido (typé drift), Camino Viejo de Montserrat ou Rally di Positano. Le tout apparaît par ailleurs brillamment modélisé, et les habitués des 24 Heures du Mans reconnaîtront par exemple immédiatement la topographie des lieux et salueront l'exactitude de la représentation, jusqu'aux tribunes et autres à-côtés. Même constat pour Laguna Seca, Catalunya, ou encore Suzuka, tous les circuits en général affichant une impression de relief assez bluffante et ce qu'il faut de bosses pour nous faire regretter le billard de Magny-Cours. Autant de destinations au service du pilotage de Forza 3, qui s'inscrit dans la lignée de son prédécesseur avec quelques améliorations à la clé. Les freinages, tout d'abord, s'avèrent moins pointilleux que dans Forza Motorsport 2 avec la plupart des véhicules, la prise des freins à la manette étant un peu moins brutale, excepté avec quelques bolides de furieux, comme les prototypes. Remarque inverse concernant les sorties de virage, qu'il faudra plus que jamais doser avec précision, tandis que l'on notera un meilleur ressenti des points d'appui des voitures, pour des placements ajustés aux abords des virages. Un point appréciable, surtout en drift, où l'on remarquera par ailleurs une gestion de la température des pneus affinée ; il sera désormais possible de mieux contrôler son véhicule avec des pneus à l'agonie. Autre élément, moins discret cette fois : les contacts avec nos adversaires se montrent ici bien moins indulgents, tout comme certains vibreurs particulièrement traîtres. De bons repérages seront donc nécessaires. On oubliera en revanche rapidement l'idée de couper au travers de certains virages, la voiture étant violemment ralentie en cas de sortie de piste pour calmer les petits malins. Reste que l'on pourra toujours grignoter un peu le bord de piste sans craindre de déséquilibrage ou autres pertes d'adhérence. Dommage. Mais globalement, Forza 3 parvient à offrir un niveau de simulation sensiblement plus élevé que son prédécesseur, sans perdre de son excellente prise en main, à la manette comme au volant. Un tour de force impressionnant de la part de Turn 10 qui confirme, si c'était nécessaire, sa maîtrise de la simulation pour un plaisir de pilotage remarquable. Chapeau, tout simplement.

Community centric


Outre sa partie pilotage, l'autre point fort des Forza reste sans conteste son aspect communautaire, transcendé avec Forza Motorsport 2 et son atelier de peinture/vinyles qui fait encore un malheur sur le Xbox Live. On retrouvera bien sûr cette fonctionnalité dans ce nouvel épisode, qui étend maintenant le partage aux réglages. Complets comme il faut, ils permettent d'ajuster la pression des pneus, les rapports de boîte, l'alignement des roues (carrossage, parallélisme et chasse avant), les barres antiroulis, les ressorts (ressorts et garde au sol), les amortisseurs (rigidité), l'aérodynamisme, le freinage et le différentiel. Autant d'éléments à modifier avec l'aide de la télémétrie (toujours aussi précise et disponible en pleine course ou lors des replays), et pour ceux qui ne comprendraient rien à tous ces barbarismes, qu'ils se rassurent : la difficulté du jeu en solo reste très accessible et ne nécessite pas franchement de passer des heures côté réglages. En ce qui concerne les améliorations moteur, Turn 10 s'est largement penché sur la question dans ce troisième volet qui comprend une foultitude de paramètres rangés par domaines : moteur et puissance (filtre à air, admission, alimentation, échapppement, arbre à came...), tenue de route (freins, ressorts et amortisseurs, barres antiroulis, etc.), transmission (embrayage, boîte de vitesse, différentiel), pneus et jantes (largeur, style des jantes et taille des jantes), aérodynamique (pare-chocs, et aileron), swap moteur, suralimentation... Bref, la liste est longue et les choix pas toujours faciles, une pièce pouvant par exemple bénéficier à la tenue de route, mais réduire la vitesse de pointe, et ainsi de suite. Comme en vrai donc, et c'était bien là le but affiché du studio américain, qui a toutefois pensé à simplifier le tout pour ceux qui souhaiteraient passer moins de temps dans les menus, aussi réussis et fonctionnels soient-ils. On pourra en effet aussi améliorer ses véhicules à l'aide de packs complets, en choisissant simplement quelle catégorie on vise (l'IP).


Réglable selon trois niveaux en carrière (facile, normal et difficile) mais pas du tout en mode de jeu arcade - choix assez étonnant par ailleurs -, l'I.A. adverse promet des courses propres quoiqu'un peu trop plates par moment. Nos adversaires porteront bien entre eux quelques attaques de temps en temps et se replaceront dans le sillon de leur proie en cas d'échec, mais le tout manque un peu de punch et de prise de risque. Si l'on assistera bien à quelques rares accrochages, on est tout de même loin de la hargne d'un Race Driver : GRID par exemple, ce qui n'est sans doute pas un mal tant les dégâts peuvent ici ruiner une course entière (sauf si l'on utilise le rembobinage à outrance bien sûr). Relativement superficiels d'un point de vue visuel - on aura seulement le droit à quelques grosses rayures, déformations et éléments branlants -, les dégâts s'avèrent globalement corrects, même si on remarquera que ceux-ci sont tout simplement absents en vue cockpit. Un pare-brise fissuré ? Que nenni, il restera intact en vue cockpit. Dommage. Les répercussions sur le pilotage sont en revanche agréablement bien réalisées puisque carrosserie, freins, roues, moteur, boîte et pont pourront être touchés de façon indépendante. Et si un gros choc ne signera pas l'abandon immédiat, il réduira en poussière les chances de victoire, la faute à un parallélisme faussé, à un moteur à l'agonie, à une boîte cassée, ou bien les trois à la fois. Pas de bol. Un passage de rapport raté et c'est toute la boîte qui prendra un coup, sans parler de l'éventuel blocage de boîte qui va avec. Bref, on prendra soin de sa monture en course, d'autant que les dégâts seront soustraits à nos gains à la fin de chaque course. En dernier recours, il sera également possible de faire un tour par les stands qui, étrangement, permettra de remettre à zéro tous les dégâts mécaniques, mais pas ceux d'ordre visuel. Ce n'est certes pas la priorité en course, mais réparer un moteur en quelques secondes n'est pas franchement plus réaliste...

Y'a plus de saisons


Déjà doté d'une durée de vie considérable en mode carrière, Forza Motorsport 3 fera durer le plaisir avec un mode arcade permettant dès le lancement du jeu de découvrir toutes les voitures et pistes du jeu lors de courses rapides, de contre-la-montre ou encore d'épreuves en écran partagé à deux. Un mode de plus en plus rare dans les jeux actuels et forcément bienvenu, tandis que la partie en ligne propose des courses simples sur circuit, ovale ou encore du drag et du drift, le tout jusqu'à huit. On dispose bien sûr de tout un tas de paramètres au moment de la création de la partie, comme la possibilité de modifier la grille de départs, de mettre en place des départs différés, d'ajouter des véhicules contrôlés par l'I.A. ou encore d'opter pour une course en plusieurs manches. On aurait aimé pouvoir participer à une réelle carrière en ligne, mais on aura déjà de quoi faire, sans parler de toute la partie partage des voitures, des livrées, des vinyles et des réglages. Forza 3 se perfectionne donc petit à petit, un sentiment également valable pour l'aspect visuel certes pas aussi flamboyant qu'on l'aurait espéré, mais néanmoins très correct. Le bond qualitatif par rapport à Forza Motorsport 2 est en tout cas réel, tant au niveau des pistes que des modélisations des voitures, plus fines et détaillées. Le frame rate ne bouge pour autant pas d'un iota et reste fluide en toutes circonstances, excepté lors de certains passages à deux en écran splitté. Le prix à payer pour ce confort est toutefois des temps de chargement encore longs, même une fois le jeu installé sur le disque dur de la console. Au rayon des doléances, on citera également des moteurs et une partie sonore en général un peu en deçà de ce que l'on pouvait attendre de ce Forza 3, alors que la vue cockpit - nouveauté de première importance de ce volet - déçoit par son manque de punch. Outre l'absence de geste à chaque passage de vitesse, le pilote paraît comme mou et lent dans ses réactions en vue interne, modifiant ainsi notre perception des événements en course. Après Race Driver : GRID et Need For Speed : Shift, la douche est froide, même si les titres ne jouent pas exactement dans la même catégorie. Difficile également de ne pas remarquer l'absence de météo et de cycle jour/nuit, décidément boudés par les récentes simulations sur consoles de salon.voila je sais ça fait beaucoup mais lisez le Very Happy Exclamation Exclamation

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gamer

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moi j'aimerais bien^^ Exclamation Exclamation

kikar4u

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Admin
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faut voir un peu plus tard y'aura les potes a mario02 alt+e alt+e alt+e alt+e alt+e alt+e :woot: :woot: lol! lol! [sondage]on prends forza3 pour jeu vidéo préféré du forum? 697455

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